Page:Eggis - Voyages aux pays du cœur, 1853.djvu/73

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Ce vêtement de Dieu qu’on nomme la nature,
De la famille humaine y cache la torture,
Et calme sa souffrance au doux baiser de l’art.

Dans son flux musical où voguent les idées,
Ce livre où vit la soif des choses insondées,
Est vaste comme Haydn et doux comme Mozart.