Page:Eggis - Voyages aux pays du cœur, 1853.djvu/87

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Votre doux nom, madame, embaumera ma lyre,
Le reflet de vos yeux éclairera ma nuit,
Et si vos lèvres d’or me donnaient leur sourire,
Je comprendrais le ciel, — mais j’apprendrais l’ennui !