Page:Eggis - Voyages aux pays du cœur, 1853.djvu/90

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On le trouve partout où l’on verse des larmes,
Son amour est le seul qui ne s’éteigne pas ;
Il a des mots d’espoir pour toutes les alarmes,
Et sa main quelquefois arrête le trépas.

Éclos dans un souris de la vierge mystique,
Un soir il est tombé du séjour éternel ;
Cet ange de la terre est doux comme un cantique,
Et son nom, mes enfants, c’est l’amour maternel.