pendant deux ans sur les vaisseaux de l’État, est reconnu susceptible d’être chef de pièce.
AIDE-DE-CAMP d’artillerie. Officier d ·~I.. t major (lc cette arme, sCI’"ant pn : : s d’un ~énéral pOlir le s/ ! co nùcl’à l’armec, pOr lel’ses QI’d."cs (.o t vei ller il lellr exécution. Les générau x n’ont des aidt ! S-dt : -comp qll~ quand ils SOllt Cil actÎvitê de service. Les liclltcli ans-gcllcraux cn nnl deux Cil temps de paix (uu C : lpÎI : lÏucct lUI chef d’escad ro n), ct tI’ois eu temps dc guerre ( deux capitaiucs ct un chef d’escadron). Un marêchal-de-camp a un nide.dc-cluup t’Il temps de paix( du ~radc de capilaillc), ct deux en temps de s uen c ( c : lpit.’l im·s). Les gcnéra ux. choisissent ct soumc tlclll, J’.. pprobation ’tI li mÎllÎstrc Icurs aidcs-dc-cllllp. pa rmi les officiers dcs réGimens ou parmi I(’s officiers de l’état— majot : particulier de l’artilh’ric, Ces aidesdc-cam ? sont remplacés daus J, ! urs emploi, s lors Ile lellr nominatioll, t.’l cu quittant leurs. ; ênéraux ils prennent les emplois vac…1US de leUl’S s ratlcs, soit dans les corps, soit dans les établissemens du IUlllp.riel de l’arme.
AIGRETTE. 1) :’I J’ure du c : ts qu e YOyl ! z au Dictionnaire le mol CASQUE’.). EII, p est ordinairement en cl’i ns dc clu’val, fl ottant en :’lITière tlu casque, Au temps d e Vét ; èce les casqucs d es centurio ns dirféraient de ceux des soldats pa’r des aigrettes.
AIGUILLETTE. Co rdagt’d e 15 il 16 brasses d e longueur, ~tde om.135 à0"t, : &’16 (6li 10 lig.)de diamètre, srnant, daus la marine, à brider les deux branches de la brague pour les roidir et relenir le ca non quand il est ri la serre, c’est-à-dire contre le bord.
AILETTES. Pii ! ces cn fer qui, au moyen d’une VIS, servent il fixl’I" la délente d’un rusil sur l’é-Cusson de la sous-garde.
ALCOOL. On l’emploie dans la préparaiion dt ! ( ! uel.qucs arlifices de guerre. Quand il est pur, cc liqUldc est transparent, incolore, d’lIllc odcur pé-Dt : trante cl agréable, ct d’une saveur brùllllllt·. Il se co mbinc fa ci lclllt’ll t avec les r ésin e, ", le ca mphre, l’anli moine ct Jes huiles volatiles. (Yoy, les T rllitl’s de chimie.)
AMADOU. Celte substance d ont on fait US3 ;. : -e ~ollr se procurer du fen, soi t par la colli sioll tin sdex (’t de l’acier, soit I)nr la cond’·.hation subilc d.c. l : a ir dans un hriqU(, t IHieum O’ltiquc, est Hm !’0’1_ rl~te d u 8Q/ClII, r ignia rùu CIli’on IrOllve SUI’h. « S » iell x fn’~I~S t’t SUI’d’autres arbres" On l’cmploie dalls les arllhces de guerre ct on le comprend dans Ics meuus achats.
Comme o nyeut cire dans le cas d’cn fabriquer pour les besollls tic l’a l’lil1er ic, voici le pl’nCt ; t ! é ail moycn dUCJllel 0 11 le prépare:on le fait bouillir da~s l’ea u pnllr t’n cxtrair(’les partit.’S soluhlrs, pUiSon le sèche, cl on le frappe avec un maillet
pour en rendre la tex ture moins sen éc. Il a alors
j’apparence d’une peau de dai m très·spongicusl’.
Eulin ou l’iIUJl,’êgne d’uue di~solulioll de nitre, ct
on le sèche; dans cet état il est~connu sous le nom
d’ulIladou on de lIleche d’Allemagne.
AMEUBLEMENT du logement des chefs des établissemens de l’artillerie. (Voyez l’a rticl(" LOCI : : -MI’: ~T des d ers des établissemens deJ’al, tilleric,)
AMORCES fulminantes. Cc sont des capsules en cui’re, qui sc chaq ; eut avec UIIC poudre composée de 10 parlies de mcrcure de Howard cl de 6 parties de poudre de chasse bien mêlées ensemble il la 1lI0letle, ct humide afin d’cviter Irs ex,
plosions. Ces 1"’opOl, tio ns pem’cili va riel’, sui vant qu’ou ve ut des 81ll0rc( « s plus 0 11 moius » ives. On fa"it aussi pour les fusils dc chassc des amOl’ces charf : ces cn poudre blanche, dans Ipstfuelles on l’(’IlIJ>lace la poudre de chasse V" « une égale Il » antilé de soufre ct de salpêtre, suivant les proportions (Jllits sc trouvent Jans la poudre de chasse. Le me"ell re de Howard sc prépare avec les ma..
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u e l"Cs SUl’ ; ou(J.’c le mercure (Ians l’a l’ide nitriljllt’cn chauffa nt un pell, on "erse d(, ssus l’alcool, 011 ml’Iauge bi·cll. cl on chauffe de nouveau, jusqu’à ce qu’il commence ; " sc dégager des’8pCllI"Scpaisses. On retire dl~ IJesslls, ct bientùt l’cfferve~ccnec de’iellt extrêlll(’ment "ive, ct il y il un dé~abement abo ndant de vnpeUl" ! ll’lhérées ; il sc preclpile Cil même lemps du ful mi nate de IlH ! rCllre CJue 1’011.·etire p~r la dé(’3nlalion, et qu’on la’c IIU peu pour enlevel’tontes les c : ï.IIXmères 1 av : ml de l’cmployer il la l)rÙparalioo de la poudre pour amorces, Ces Opt~, ·atit)lls sc font dans des matras en verre. On peul allssi les faire J aus des len’incs ; alors, après avoi., filit dissoud,’c 1(’ mercure Jans l’acide nitrique, on vel’se dessus ull e l’t’lite pa rtie de l’a lcuol qui doit èll’C employé dans l’opt’ration ; il sc p.’odllit p,’olOplemt’llt IIIW effcl’ « escellce tri : s·vi » e, quc l’on..alt’Iltil peu à peu, à mesllre qu’il est néc(’:.sain~, en cnntinuan t i.’er· sel’de l’alcool, juStlu’à ce qU’ail l’ait loul employé. La pOildre IH’épa réc pOUl’chargel’les ca psules cn cui vre su.).mesul’e ct sc met en mtme temps dans ces pel il s lubes cyl indriques ; HI 1Il0Y" n d’un inst "U lllellt:lppclc nmorç()ir, c t o n la fi ; ; c : 11. fond IMr la press ioll d’ull poim : on nni P’l" 11 11 balancie r 011 IIlIe p resse quC’lcon que.
0" fai t usage de ces amorces pOlir dC’s fllsils— de gtlerre ct pOlll’les fu sils de chassl’, ( roy, l’a rticle FL « SILl)y’ » YoMl’A"".)
AMORÇOIR pour les fusils 1. piston. Depuis qu’oll a illlal:j « iné les fusil » à p; ston, on a faitI~eatl coup de recherches pOUl’t : onslrlli..c de~ ilIIHl/, t : o irs commodes et qui missent le chasseur à l’aLri de J.
