Page:Encyclopédie méthodique - Beaux-Arts, T02.djvu/724

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m p A s ^ Seconde tebite.Bhnc , outremer , peu d’bchf^ ’ jaune & de laque. Troijîéme teinte. Moins de blartt, & plus des trois autres couleurs. Ombre s. Première teinte. Outrent^ ocJire jaune & laque. " Second ? teinte. Gchre brune, laque Se peu d’outremer. Troifiéme teinte. StiJ-de-grain.bruîi , la<jue^& peu de terre de Cologne. Coloris forts. ( Lumières. ) Première teinte. Blanc Se peu d’ochre brurte. Seconde teinte. Blanc & peu de brun rouge. Troijzéme teinte. Blanc, brun rouge & oCÎire brune. Quatrième teinte. Plus des deux couleurs en proportion du blanc. Cinquième teinte. Brun.roiige & blanc. D I M I-T E r N TE s. Prejniere KÎnte. Blanc» terre verte,. & peu d’Qchre brune. , ; , ;, Seconde teinte. Blàm : ,. terre verte ,, 8c. rouge d’Angleterre. Troifléme teinte. Blanc , terre verte & brun rouge. ♦ Quatrième teinte. Terre verte , brun, rouge, ocJire brune, & : blanc. O _M.8 R^B,ç.

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’Première teinte-i TejTe’ verte , brun rouge & ochre brune. Seconde feinte. Nair d’ps.& rouge d’Angleterre, if). ; .,1 . ■ : , ; , ;.^, ,,s , Uc’ijtâmc teinte. Stil- de-grain brun, ktjue & îiojr d’os. . Tels font les crayons- principaux- qui peuvent c-fltrcr danf l’im’ta’i-on ces carnations di/erfes : on peut fuppJéer à rinfuffiiance de leurs combirailbns par les crayons iuivans , qj on ne man^ quera pas d’occafijns d’employer encore à différériS : .u lag.es, neutres. ra{î :ls , qui peuyent fervir aux carnations & à d’autres. ebjets. Ochre jaune & : peu de blanc Ochrc brune & peu de blanc. _’ Sril-de-gviiu ç],a|rjavef.,du b^a->&J8i’.s-.-.l,. Vermillon avec peu de blanc, iaque & pcu^de^bianc. Vermillon & laque, liaque ay&cjnoinsde verîîullosv. PAS Outcemer avec peu de blanc. Outremer & ochre jaune. Ochre jaune & noir de charbon. Ochre brune, ik noir d’ivoire. Terre verre & : rouge d’A-ngleteri’e,. Ces douze combinaifons-nouveUes qurpeuvené fe combiner elles-mêmes avec plufreurs des teintas précédentes y& former entre elles un nombre inappréciable de combinaifons, offrent à-l’artllfe qui fait les employer,, un fond immenle de ri-chefles. Ce ne fera jamais des-reflburces de fonart , mais de celles de l’on génie , qu’il aura droit de fe plaindre. Voici encore d’autres com^po(itions pourîiaî-^ ter les objets blancs. Pastels pour les linges ^denteîUs^ Hermines f. étoffes blanches , &c. Blanc. Blanc & peu de noir de charbon. Moins de blanc, plus de noir & un peu de vermillon.. Blanc , noir , ochre & vermillon-. Les mêmes couleurs avec moins de blanc. Blanc , ochre jaune & peu de noir. Noir , ochre &i peu de brun rouge. Pastels /70î^r des fonds, dés.fiikriques d^at" ciiceSure, &c.. Blanc , o ;hre , noir & rouge. Mêmes couleurs avec moiai dé blanc hJoir, ocJire Se rouge.. Si l’on veut un fond plus grifâtre, on compo* fera desjjajîels avec moins d’ochre & moins de rouge. Veut-on qu’il foit au contraire plus rougeâtre ?

on ajoutera plus de rouge : faut- il enfin 

qu’il foie plus jaunâtre ? on merira plus de jaune. Le fyilênie que l’on vient d’établir pour laconpoiition des paji-ls , ne dilFsrfe pas de celui qu’on ebferve en compofant la palette pour la, peintureà.rhuile. En effet , on n’a qu’à broyer fur la palette, avec de l’huile, les mêmes pûjidsi que nous venons d’Jndiq’.ier, & l’on en fera les mêmes ufagesraveo unfuccèségal. Il faudra feulement rejetrer les couleurs qcii ne s’employenr , pas à l’huile, telles que le biflre, le carmin , l’émail , la terre verte & l’indigo, qui du moins n’y ell employé qu’avec du blanc. Tout ce que nous avons dit de la CDmpofi :ioni dej paflels , efl : tiré de la dernière édition des Elémer.s de la Veihture pratique , & peut être tris-utile pour la compoliiion & la combinaifondes teintes : ce que nous allons ajouter eu, plus, utile encore , puifque les artiftes y trouveront. des lumières fur le choix de fubftances qu’ils doivent faire , û j.non contens de donner à4e±ir&.