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PREMIÈRE CLASSE. 5

Fig. 1 4, GnlU du fourneau de Lavoisicr. Elle esc à claire-voie et en fer méplat pour que le» barreaux opposent moins d’obstacles au passage de lair^ ils sont posés sur le côté le plu^ étroit.

Fig. 1 5 . Fourneau de coupelle. Il est composé d’un cendrier A A B B » d’un foyer Q B C C , d*un laboratoire C C D D , d’un dôme D D E E.

Fig. 1 6. Moufle. C’est un demi-cylindre creux , dont l’extrémité G est fern^ée et l’extrémité H est ouverte. Elle s’engage dans la capacité du laboratoire du fourneau de coupelle. Son ouverture correspond à celle G G de ce fourneau ; elle est soutenue sur des barres de fer transversales. F est un

canon de fkt luté â l’extérieur qui traverse un fourneau alongé C D : il doit être un peu incliné de £ en F. A l’extrémité E est adaptée une cornue A contenant de l’eau le fond de la cornue repose sur la erille d’un fourneau Y V^X. L’extrémité F communique â un serpentin S S , celui-ci â un flacon H ; à ce flacon on lute un tube K , qui sert à potter le gaz hydrogène sous des cloches remplies d’eau. .

Fig. 1 8 ils. Canon de fer , qui sert à la décomposition de l’eau , isolée ^’g* 19 > ^o j 11 j 11. Creusets de diffilrenees formes. Celui de h figure ir, dont l’ouverture est très- petite , s’appelle tute..

PLANCHE IIL

Figure 2}. Fourneau de réverbère.

Fig. 24. Cornue dans un bain de sablé.

Fig. 25’ a 16. Fourneau de Macquer^ représenté sur deux £ices} il est composé de trois pièces Ay B> C.

La pièce A est percée par son fond : dans l’intérieur en D est un rebord propre â supporter une erille E ( figure 17 ) ; à quatre pouces et demi au-dessus de la porte est une ouverture F j cmtrée en anse de panier , et garnie intérieurement d’un menconnet qui avance de deux pouces au dehors , ce qui est destiné à soutenir la porte qai doit fermer exactement cette ’ ouverture.

La pièce B est le dôme y il est ut» peu incliné sur le devant , comme on le voit figure i& il a une ouverture B , par laquelle on introduit le combustible dans le fourneau. Cette pièce tit

carrée en dessus ; elle est percée, dans son milieu, d’une ouverture ronde de six pouces de diamètre 
près du bord de cette ouverture est un collet qui s’élève d’environ deux pouces. 

La pièce C est un* tuyau de terre cuite de six pouces de diamètre, et de deux pieds de hauteur ; ’A emboîte extérieurement le collet de la pièce B. En H , on pratique un repos sur lequel on place un tuyau de tôle de douze pieds de longueur et six pouces de diamètre. Fig. 27. Grille du fourneau de Macquer. Elle est vue avec un triangle de fer, qui est garni de trois pieds, et qui est destiné à soutenir la partie inférieure du fourneau. Fig.. z8. Fourneau de Baume. Il a quinze pieds de hauteur, dix pouces’ de largeur^ et treize pouces de profondeur dans toute sa longueur. Il t%t percé â jour par le bas , et éLvé envrzon à dix-huit pouces au-dessus du plancher ’y il n’a point de cendrier fermé.^ On place dans l’intéftieur en D^ une grille de fer construite comme celle du fourneau Je Macquer. A six poucesan- dessus de cette grille, on pratique une porte cintrée F, à laquelle répond louvermre ^wnc Bioufie amovible , qu’on place sur des< briques posées de champ. A huit pouces au-dessus de cette porte ^ on pratique en B une seconde ouverture carrée ou cintrée par le haut , qu’on ferme avec une porte de terre.cuice : c’est par cette ouverture que Ton introduit le chacbou». Le dessus de cette pone , jusqu’à son extrémité supérieure , est la cheminée de ce fourneau.. Fig. 29» Fourneau des fondeurs. Le fourneau des fondeurs est une tour catrée, creuse,, enfermée dan&une maçonnerie de briques ^ce £ ;>u£neau esc animé par ua soufflet à deux v-ents*