pide, en lui montrant les dangers infinis, & presque certains, auxquels il expose son repos & sa fortune, lorsqu’il s’engage dans l’immnse labyrinthe dés hasards & des chances qui doivent tôt ou tard l’accabler. C’est la m.eilleure leçon qu’on puisse donner contre la passion du jeu, & la plus capable d’en préserver les hommes raisonnables.
Les mêmes motifs nous ont engagé à faire quelques observations sur les préjugés superstitieux du bonheur & du malheur dans les jeux de hasard.
Ces raisons nous d~feqninef), ~ au~__à don~er un.av.is falutaire, au~ jo_ueurs crédules & confians, en leur décou"rant, dans un article de ce n ·iél-ionnaire., fous le titre de Comhinaifon.J frauduleufes, la plupart des préparations, ~~ès’. rufes·,’&’des pieges 1Ue àe preT~ndus f’"eN OU fiipon.r ·Qrtt jeu,. favent J itn~gtner ~·..pour s’enipéÜ’et jfûrement · de fargent de lèut : s dupts…
Enfin, ceux qui fe plaifent aux jeux de pures combinaifons, trouveront dans · ce Di8ionnaire, les coups les plus brillans d~ d « mes.à ia-pol’Onoife, ·.r~·tl~res jeux 1embRibi~s— ; ils poturont encare y ·rottœmpla— la marobe favante des échecs, que Phili·aor, le _joueu.le ·plus habile &.le ph1S Otft· ~ ord~naire, a tracée dans. fa Métbode. Nous la rapportons ici en en, tier, parce qu’il fa~t ! a fuivre & —l’étu.dier.dans tout fon enfemble ; & que d~ailleurs, étant imprimée. en. p~ys. étranger, elle efi devenue rare & difficile à rencontrer.
N. B. qn tr)uv.~ra d~ns la fe’cènde partie de c’e demi —Volume, · re Dic1ionnaire de Jeux familiers.
