Page:Erckmann-Chatrian - Histoire d’un conscrit de 1813.djvu/337

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et le rebondissement sourd de la canonnade nous arrivèrent ; ce n’est que vers deux heures, lorsque nous découvrîmes l’immense file de troupes, de canons et de bagages qui s’étendait à perte de vue sur la route d’Erfurt, que ces bruits se confondirent pour nous avec le roulement des voitures.