Page:Ernault - Gwerziou Barz ar Gouet.djvu/44

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— Ma foi, maman, je me suis beaucoup ennuyé dans mon berceau ; et moi de me lever pour me promener, sans bruit, de peur de réveiller.

Sur ma tête un soleil brillant ; le chant des oiseaux tout autour, joyeux ; je courais au milieu de l’herbe des prairies, cueillant les plus belles fleurs.