Page:Ernault - Gwerziou Barz ar Gouet.djvu/47

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Et moi de m’enfuir pour te trouver à l’instant, sans penser même à mes sabots ! Comme j’arrivais devant la colline, je tourne la tète, je te vois là-bas,

A côté du puits, endormie ; et je retourne vers toi ; pour t’éveiller, je te saute au cou… Mère, dis-moi : est-ce que j’ai été méchant ?