Page:Esquiros - Les Hirondelles, 1834.djvu/133

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Dies irae, dies illa.


Je n’ose plus aimer : tous ceux que dans la vie,
Comme un souffle brûlant, mon amour a touchés,
Ont senti se flétrir leur jeunesse ravie,
Et pareils à la fleur qu’un soleil a ternie,
Sur leur tombeau se sont penchés.