Page:Eugène Le Roy - Jacquou le Croquant.djvu/463

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de mes voisins, bienvoulu de tout le monde. Et, dans une pleine quiétude d’esprit, demeuré le dernier de tous ceux de mon temps, rassasié de jours, — comme la lanterne des trépassés du cimetière d’Atur, je reste seul dans la nuit, et j’attends la mort.


FIN