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XI

Grande tombe.


C’était la reproduction agrandie de la scène qui ouvre ce récit. Montrath, le brillant et noble manoir, était la proie des flammes. Un furieux incendie, activé par le vent qui soufflait de la mer avec violence, dévorait à la fois toutes les parties du château. C’étaient des mains habiles et savantes au mal qui avaient opéré cette œuvre de destruction. Les mesures avaient été prises avec une précision diabolique ; le fier édifice n’avait pas une toise de muraille qui ne fût