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LE BOSSU.

bres ; celle de maître Louis, qui s’ouvrait sur l’escalier, et une autre qui n’avait ni issue ni destination connue.

Cette deuxième chambre était constamment fermée à clef. Ni la vieille Françoise, ni Berrichon, ni même la charmante jeune fille n’avaient pu obtenir permission d’y entrer.

À cet égard, maître Louis, le plus doux des hommes, était d’une rigueur inflexible.

La jeune fille, cependant, eût bien voulu savoir ce qu’il y avait derrière cette porte close ; Françoise Berrichon en mourait d’envie, bien que ce fût une femme discrète et prudente. — Quant au petit Jean-Marie, il aurait donné deux doigts de sa main pour mettre seulement son œil à la serrure.

Mais la serrure avait par derrière une plaque qui interceptait le regard.

Une seule créature humaine partageait, au sujet de cette chambre, le secret si bien gardé de maître Louis. C’était le bossu.

On avait vu le bossu entrer dans la chambre et en sortir.

Mais, comme si tout ce qui se rapportait à ce mystère devait être inexplicable et bizarre, chaque fois que le bossu rentrait dans la chambre, on en voyait bientôt sortir maître Louis. Réci-