Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 4.djvu/146

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
131
DE PARIS.

DE PARIS. 131 Et le voyagenr cesse de sentir son ceur. Ses pieds sont de plomb. La sueur se gèle sur ses tempes qui bruissent. ouh sl sie Il chancelle; il tombe sur la voie glacée. I ferme les yeux sans avoir le temps de faire une prière, et dort son dernier sommeil. Le lendemain on trouve le long de la route un cadavre durci. rul La vue seule de ces filles livides de la mort a tué le pauvre voyageur... Un poète du Nord eût comparé la duchesse à ces démons de la mythologie septentrio- nale. A la voir seulement, le pouls battait