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LES AMOURS

392 LFS AMOURS Toby et lui avaient travaillé toute la jour- née. Le Mémoire s'était grossi de bien des pages. Il racontait les traverses de la famille de Maillepré en Angleterre, son arrivée en Bre- tagne, et le touchant accueil que lui avait fait un des bons fils de cette terre loyale. M. Williams avait sans doute appris ces cho- ses d'une manière détournée et incomplète, car il glissait sur les détails, et ne donnait pas même le nom de ce tenancier généreux qui fut pendant des années la providence de Mail- lepré. Or, pour ne point écrire ce nom, il fallait que M. Williams l'ignoràt; car c'était avec re-