Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/115

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— Allons, Mich ! un verre de grog, mon fils ! cria joyeusement Bob… ça te donnera du cœur, mon garçon… Tu n’en manques pas, je le sais bien, par dieu ! — mais on n’en a jamais de trop.

Bob versa le brûlant mélange à la ronde. Mich but son verre d’un trait ; Madge l’imita, Snail fit la grimace et jeta ce grog de nouvelle espèce qu’il déclara détestable.

— Le fait est, dit Madge, profitant du moment où elle avait ôté sa pipe pour boire, — le fait est qu’il n’est pas assez fort.

— Un autre verre, Mich ! reprit Bob. Mich but un second verre.