Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/174

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Voici quel était le contenu de la première :


« Madame,

» Je vous envoie vingt mille livres en billets de la banque d’Angleterre. Je sais que ce matin même vous aurez le moyen de les échanger contre le diamant ; mettez, je vous prie, ces moyens, quels qu’ils soient, en usage.

» S. M., mon royal frère, ne sait point pardonner certaines faiblesses. J’aime mieux perdre de l’or que sa précieuse estime.

» Ceci, chère lady, est de votre part un malheur et non point une faute. Veuillez me croire toujours et plus que jamais votre soumis serviteur.

 » Frédérick. »