Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/177

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— Ce qu’il y a, milady !…

— Allez, vous dis-je !

Betty sortit et revint quelques secondes après tout essoufflée.

— Milady, répondit-elle, il n’y a rien.

— Rien, Betty ?… Vous êtes sûre ?

— Sûre, milady… Rien qu’un fiacre dont le cocher m’a regardée !…

— Un fiacre ! répéta lady B… d’une voix étouffée ; — sortez Betty !

Lady Jane B… se prit à parcourir sa chambre à grands pas.