Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/185

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Où me conduit-on ? demanda lady Jane.

— Signora si ! Dieu m’est témoin que zo me zetterais au milieu d’un brasier ardent pour faire oune piccolissimo piacere à la Vostre Altesse illustrissime.

— Je vous demande, madame, où l’on me conduit ? répéta lady B…

— Signora si !… z’atteste la mère de Dieu très glorieuse, et San Pietro di Roma, le béatissime patron de feu le mien époux, il conte Cantacouzène, que la Vostre Altesse a en moi la plus dévouée des esclaves.

Ce disant, la petite femme saisit la main de lady Jane qu’elle porta brusquement à ses lè-