Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/206

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diatement sur le tempérament délicat et déjà fortement ébranlé d’ailleurs de la pauvre lady Jane. Elle s’arrêta, incapable de faire un pas de plus.

— Qu’y a-t-il ? s’écria la petite femme ; — qu’a donc la vostre échellenze ?… Oun piccolo disgusto !… Ce ne sera rien !… Cette odeur, qui n’est pas séduisante, zo suis forcée d’en convenir, vient de la cuisine de ces pauvres gens… Il faut bien qu’ils mangent, et la Vostre Altesse ne peut ésizer qu’on les fasse mourir de faim.

Tout en parlant, elle avait mis son flacon sous le nez de lady Jane.

— Oun poco décourage ! reprit-elle en-