Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/214

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

mains souillées à la soie éclatante de sa robe ou tiraient impitoyablement son magnifique cachemire.

— Mes enfants ! mes enfants ! disait la petite femme, — la paix ! la paix !… On vous fera repentir de votre audace.

Un immense chœur de ricanements répondait à ces représentations vaines.

Lady Jane, pétrifiée, se soutenait debout, nous ne savons pas comment ; ses yeux fixes ne voyaient plus. Ce mouvement, ce vacarme, tout cet infernal sabbat, en un mot, tournait confusément autour d’elle, sans éveiller dans son cerveau aucune sensation dont elle pût se rendre compte.