Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/238

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

conduit jetait, par torrents de vibrations, dans la salle, que se passe-t-il ici ?

— Ce n’est rien milady, rien du tout, le diable m’emporte… Deux coquins qui s’égorgent là-bas probablement… Ne faites pas attention.

— Et ne pourriez-vous donc l’empêcher, monsieur ?

— Si fait, milady, ma foi ! pour peu que ce bruit vous gêne… mais voyez si vous n’auriez pas une autre bank-note dans votre portefeuille. Paddy se leva, posa ses lunettes sur la table, écarta sans trop de façons la contessa