Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/255

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que j’ai me vient d’une source étrange, précaire, ignorée… Je suis engagé dans une lutte folle qui doit me tuer quelque jour, et où la victoire même serait sans joie, madame… je suis enfin tout ce que ne sont point ceux qu’on aime et qui aiment…

— Et n’êtes-vous donc pas beau et noble, Brian, le plus noble et le plus beau ?

Lancester sourit avec tristesse.

— C’est joli ! dit tout bas la petite Française.

— C’est long, répliqua milord.

— Vous ne vous souvenez donc plus de vos belles années, Tyrrel ?