Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/344

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secoua sa crinière et se frotta silencieusement les mains.

Il attendit que Stephen et sa mère eussent disparu dans la foule qui couvre incessamment les trottoirs de Cornhill. Quand il ne les vit plus, il traversa la rue et fit jouer à tour de bras le marteau de la maison de Mac-Nab.

— Que voulez-vous ? lui demanda la servante qui vint ouvrir.

Bob, nos lecteurs l’ont reconnu sans doute, souleva sa toque à demi, et s’écria en exagérant l’accent nasillard et confus des villageois de la frontière d’Écosse…