Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/353

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

bien loin ; mais ses affaires sont tellement embrouillées, le pauvre cher homme !… En tous cas, mes belles petites, vous allez le voir, et, s’il le juge convenable, vous en saurez plus long que moi, qui ne sais pas grand chose… Adieu, miss Clary, adieu, miss Anna !… Ah ! que ma grosse Effie serait aise de voir ces deux enfants-là.

Il se dirigea vers la porte.

— Dans dix minutes, vous aurez un fiacre, reprit-il ; n’allez pas causer, mes enfants !… Ce n’est pas ici une bagatelle, voyez-vous… Pas un mot à âme qui vive !

Bob ouvrit la porte, et mit un doigt sur sa bouche d’un air solennel ; puis, changeant