Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/72

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

hommes et l’effort plus outrageant qu’avaient fait les ladies pour garder leur sérieux. Ces éventails insolents derrière lesquels on s’était caché pour railler miroitaient devant ses yeux éblouis.

Et nul moyen de frapper à son tour, de rendre coups pour coups, blessures pour blessures !

Il était comme ce lion de la fable, emportant sous sa fourrure à l’épreuve le dard aigu d’une guêpe. Il se débattait, il rugissait, il se damnait.

Le comte de White-Manor était un homme de cinquante ans environ. Son visage offrait avec celui de son frère quelques traits éloi-