Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/92

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jeta ensuite ses bras autour du cou d’Anna qui s’efforçait de sourire.

— C’est toi ! dit-elle ; — Oh ! merci !… Je faisais un rêve… Que je t’aime, Anna, et que ta vue est un doux réveil ! — Un rêve terrible, ma sœur…

Elle s’interrompit et ajouta en soupirant :

— Terrible et doux à la fois… Il était là… il m’enlaçait de ses bras… Je ne pouvais résister… Il m’entraînait…

— Qui ? demanda Anna dont les fins sourcils se rapprochèrent ; — Stephen ?

Clary secoua la tête.