Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/96

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Ce fut le bruit de la porte refermée par Stephen, qui le tira enfin brusquement de sa chagrine préoccupation.

Il se leva et secoua ses membres raidis par l’humide nocturne.

— Où diable suis-je ici ? se dit-il… Je ne peux pourtant pas coucher dans la rue… Voyons !

Il s’orienta et reconnut Cornhill. Puis ses yeux, élevés par hasard, rencontrèrent la lumière qui brillait au second étage de la maison de mistress Mac-Nab.

Cette vue sembla dissiper soudain les ténèbres de son cerveau. Il se frappa le front et sourit joyeusement.