Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/138

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parce que le sacrilège artistique atteint là des proportions si effrontées, qu’il n’y a pas besoin de donner un autre exemple. À cette citation, nous eussions pu en ajouter mille autres et prendre pour ainsi dire Londres en masse pour lui faire son procès de lèse-poésie.

On doit penser que Rio-Santo, avec ses instincts choisis et sa passion pour le beau, ne pouvait point suivre la mode anglaise. Alcibiade, dit l’histoire, se transformait instantanément et prenait en un jour les mœurs de chaque pays qu’il parcourait. Ceci ne fait point l’éloge d’Alcibiade. Il vaut mieux, à coup sûr, imposer le beau que de s’affubler complaisamment du laid.

Au rez-de-chaussée de la maison du mar-