Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/146

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fort tous, tant que vous êtes, voyez-vous, mais je ne vous aime pas.

— C’est pour nous un grand malheur, signore.

Le cavalier Angelo Bembo s’inclina.

— Je ne vous aime pas, reprit-il, et sans don José, pour qui je me ferais tuer mille fois, il y aurait long-temps que j’aurais envoyé votre association à tous les diables !

— Ce serait pour nous une grande perte, signore, dit encore Tyrrel avec froideur.

— Grande ou non, il en serait ainsi, monsieur… Il y a parmi vous une douzaine de figures qui m’agacent les nerfs… la vôtre d’a-