Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/190

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— Pardieu ! monsieur, reprit-il sans plus dissimuler sa colère, voilà une audace étrange et à laquelle je ne pouvais m’attendre ! Après avoir déposé entre vos mains des sommes énormes…

— Dont je remercie Votre Grâce sincèrement et du plus profond du cœur. Elles ont puissamment servi mes projets.

— Après m’être laissé prendre à de menteuses promesses…

— Pas un mot de plus, milord ! dit Rio-Santo d’une voix brève et avec un regard souverain, devant lequel l’orgueilleuse colère du Tartare tomba comme par enchantement