Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/298

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Ceci n’empêchait point l’espionnage d’aller son train.

Derrière le vitrage noirci du cabinet obscur où nous ayons vu naguère l’aveugle Tyrrel interrompre brusquement le premier tête-à-tête de Brian et de la princesse, madame la duchesse douairière de Gêvres, confortablement emmitouflée dans sa douillette de satin et les pieds réchauffés par la fourrure d’une chancelière, écoutait et regardait.

La position de Susannah n’était plus, vis-à-vis de Tyrrel et de la petite Française, tout-à-fait la même que lors de son arrivée dans la maison de Wimpole-Street ; elle était toujours surveillée, mais la déférence et les respects avaient redoublé autour d’elle, et ces vagues