Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/351

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


— Qu’elle est jolie ! disait-elle d’un air triste et joyeux à la fois.

Tempérance n’avait pas bu ce soir-là par extraordinaire.

— Madame, c’est tout votre portrait ! répondit-elle.

On entendit un bruit de pas au bout du corridor sur lequel s’ouvrait le parloir.

— Allez-vous-en, madame, allez-vous-en ! s’écria Tempérance qui devint pâle, malgré la couche empourprée que le gin avait mis sur sa joue ; — au nom de Dieu allez-vous-en !

La dame fit un mouvement pour se retirer ; mais quelque chose la retint, et, repoussant