Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/354

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


— Ma vie est à vous, madame, dit Lancester en la relevant ; — le temps que je donnais à ma rancune ou à mes folies, je vous le donnerai désormais sans réserve… Nous chercherons… Et, si trouver votre mère est une chose possible, nous la retrouverons, Susannah.

Elle tourna vers lui son regard plein de larmes.

— Dieu m’exauce, reprit-elle, puisqu’il me donne votre aide, Brian… Dites-moi encore que nous la retrouverons…

— Sur mon honneur, j’y tâcherai, madame !… Et puis, nous parlerons d’elle… Nous laisserons de côté tous vos souvenirs de