Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 05.djvu/311

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C’était là la question, et c’était une question effrayante.

— Sotte que je suis ! murmura la petite femme avec un véritable regret ; — j’ai dormi plus de deux heures !… Pendant ce temps ma chère nièce a pu lui dire tout à son aise ce qu’il ne devait point connaître… Ah ! lord[1] ! si ce coquin de Tyrrel pouvait savoir cela !…

Comme elle prononçait ces mots, une main saisit son bras dans l’ombre et le serra fortement.

— Vous étiez là, milord ! dit-elle.

— Le coquin de Tyrrel était là, madame la

  1. Ah ! seigneur ! exclamation de femme.