Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 06.djvu/118

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son regard. — Au contraire, ce même arbre pouvait le cacher d’autant plus facilement qu’il était plus proche et que les derrières d’Irish-House se trouvaient être à contrejour.

Bembo venait d’assister à l’une de ces luttes silencieuses et terribles que précédait toujours le rauque chant du malade, et que suivaient, pour les deux combattants, quelques heures de repos, fruit d’une lassitude mutuelle.

Bembo était bien triste : son grand œil noir dont, à ces heures de mélancolique rêverie, la prunelle avait une douceur tendre et presque féminine, se promenait sans voir sur les objets extérieurs.