Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 06.djvu/183

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qui est notre but à nous n’est pour lui qu’un moyen ; nous nous arrêtons à son point de départ : nous cherchons l’or pour l’or, et lui… Par le ciel ! je connaîtrai sa pensée… Et alors, sa vie ne sera-t-elle pas toujours à moi comme elle l’est aujourd’hui ?… N’ai-je pas le temps ?… Fou que j’étais ! j’allais faire comme ces enfants stupides qui brisent leurs jouets pour savoir ce qu’ils recèlent… Le secret d’un mort est trop bien gardé : marquis, nous ajournons votre sentence.

On frappa doucement à la porte du cabinet.

— Ils sont bien pressés ! grommela le docteur.

— Au nom du ciel, monsieur, ayez pitié de