Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/182

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mais il se releva néanmoins avant que le gros de ses adversaires fût à portée de le saisir.

Il était debout au milieu de la chaussée, et tenait à la main son poignard.

Toutes les fenêtres de Belgrave-Square s’étaient ouvertes au double coup de pistolet. Les valets étaient descendus dans la rue ; les maîtres tâchaient de voir sans se déranger. Quelques groupes débouchaient des rues voisines, empressés et curieux. Ceux des assaillants qui arrivèrent d’abord à portée du marquis s’arrêtèrent sans l’attaquer, car la lumière éclatante du gaz éclairait sa pose déterminée et montrait, comme