Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/42

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se rendre chez Frank Perceval, ainsi que nous l’avons dit.

Mistress Mac-Nab était seule. Nous n’essaierons point de peindre la joie de la pauvre dame, mais nous dirons qu’Anna répondit par des larmes aux embrassements de sa tante. — Et pourtant elle ne savait point encore le sort de Clary.

Pensait-elle au beau cavalier Angelo Bembo, qui l’aimait, qui l’avait sauvée et qu’elle ne pouvait plus revoir ?…