Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/44

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C’était le lendemain des événements racontés aux précédents chapitres.

— Docteur, dit Tyrrel en achevant sa tasse de thé avec une grimace de dégoût, — je ne puis jamais boire ni manger quelque chose sortant des mains de ce diable de Rowley sans penser à mon heure dernière… C’est un triste chef de cuisine que vous avez là, sur ma parole !… Vous ne m’avez pas dit votre avis sur mon histoire de Brian de Lancester.

— C’est fort adroit, répondit Moore avec distraction ; vous en vouliez à cet étourdi de Lancester ?

— Il y avait de quoi, docteur, il y avait de quoi… Si Brian, — que Dieu le confonde ! —