Page:Falconnet - Petits poèmes grecs, Desrez, 1838.djvu/177

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XVI.

Il habitait la roche Olénienne, sur les rives du fleuve Pirus aux eaux rapides. (Strabon, lib. 8, c. 3, § 11.) (8).

XVII.

Qui eurent pour enfans les divines Nymphes des montagnes, la race des méchans et méprisables Satyres, et les dieux Curètes, amis des jeux et de la danse. (Strabon, lib. 10, c. 3, § 19.) (9).

XVIII.

Mon esprit s’étonne de la quantité de figues que porte ce figuier sauvage, malgré sa petitesse. Pourrais-tu en dire le nombre ? — Leur nombre est de dix mille, mais un médimne est leur mesure. Il en reste une de plus que tu n’es point en état de comprendre. — Il dit et tous les deux connurent la véritable mesure. Alors le sommeil de la mort couvrit les yeux de Calchas. (Strabon, lib. 14, c. 1, § 27) (10).

XIX.

Qui coule auprès de Panopis et de Glécon aux fortes murailles, et traverse Orchomène en roulant comme un serpent. (Strabon, lib. 9, c. 3, § 17.)

XX.

Dans le pays des Glactophages, à qui leurs chars servent de maisons. (Strabon, lib. 7, c. 3, § 9.)

XXI.

Les Éthiopiens, les Libyens et les Scythes, nourris du lait des cavales. (Strabon, lib. 7, c. 3, § 7.)

XXII.

Il se rendit à Dodone auprès du hêtre, demeure des Pélasges. (Strabon, lib. 7, c. 7, § 10.)

XXIII.

Ou telle, habitant les collines sacrées de Didyme, dans la plaine de Dotium, en face d’Amyros féconde en vignobles, la chaste vierge baigna ses pieds dans le lac Bébéis. (Strabon, lib. 9, c. 5, § 22. Idem, lib. 14, c. 1, § 40.)

XXIV.

Hyettus, ayant tué dans sa maison Molyre, ce fils chéri d’Arisbas, parce qu’il avait couché avec sa femme, quitta son pays, s’enfuit d’Argos, nourrice des coursiers, et se réfugia chez Orchomène, fils de Minyas ; ce héros l’accueillit et lui donna une portion de ses biens, comme l’hospitalité l’exigeait. (Pausanias. Béotie, c. 36.) (11).

XXV.

Phylas épousa la fille de l’illustre Iolaüs, Lipéphile, qui, semblable par sa beauté aux déesses de l’Olympe, mit au jour, dans ses palais Hippotès et la belle Théro, brillante comme les rayons de la lune. Théro conçut entre les bras d’Apollon et enfanta le vigoureux Chiron, ce dompteur de coursiers. (Pausanias. Béotie, c. 40.)

XXVI.

. . . Afin que la ville le fasse : l’ancienne loi est la meilleure. (Porphyre, dans l’Antre des Nymphes.)

XXVII.

Et le superbe Périclymène, cet heureux mortel, comblé de tous les dons par Neptune, qui ébranle la terre. Tantôt il paraissait parmi les oiseaux sous la forme d’un aigle ; tantôt, ô prodige ! il rampait comme une fourmi ; quelquefois il se métamorphosait en un brillant essaim d’abeilles ou devenait un terrible et farouche serpent. Enfin il possédait mille dons, impossibles à décrire, mais qui dans la suite le perdirent d’après la volonté de Minerve. (Le Scholiaste d’Apollonius de Rhodes, lib. 1, v. 156.)

XXVIII.

Ayant demandé le fils de l’illustre Cléadéus.... (Le Scholiaste d’Apollonius de Rhodes, lib. 1, v. 824.)

XXIX.

Alors ils adressaient leurs vœux à Jupiter Énéien qui règne au haut des cieux. (Idem, lib. 2, v. 297.)

XXX.

Lui-même, dans le débordement du fleuve, issu de Jupiter..... (Idem, lib. 1, v. 757.)