Page:Falconnet - Petits poèmes grecs, Desrez, 1838.djvu/181

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LXXVII.

Elle lui envoya pour gardien le grand et vigoureux Argus, qui, armé de quatre yeux, regardait de tous côtés. La déesse lui avait communiqué une force indomptable ; le sommeil ne s’appesantissait pas sur ses paupières et il faisait une garde assidue. (Le Scholiaste d’Euripide, Phœn., 1116.)

LXXVIII.

Vénus, amante des plaisirs, s’irrita en les regardant et répandit contre elles une mauvaise renommée. (Le Scholiaste d’Euripide, Oreste, 239.)

LXXIX.

Les actions appartiennent à la jeunesse, les conseils à l’âge mûr et les prières aux vieillards. (Harpocration in Erga.) (25).

LXXX.

Il était lui-même l’arbitre de sa mort, lorsqu’il voudrait mourir. (Apollonius Dyscolus de Pronominibus, p. 366.) (26).

LXXXI.

Grande perte pour eux-mêmes..... (Idem, idem, p. 385.) (27).

LXXXII.

Alors les repas étaient communs, les assemblées étaient communes entre les dieux immortels et les humains. (Origène contre Celse, 4, p. 216.) (28).

LXXXIII.

S’il éprouvait ce qu’il fit aux autres, ce serait l’effet d’une droite justice. (Aristot., Éthicâ Nicomakeia, v. c. 5.) (29).

LXXXIV.

Atalante aux pieds légers. (Les Scholies de Venise, Iliad., B, cat. 271.) (30).

LXXXV.

Le héraut écuyer voyant..... (Les Scholies de Venise, Iliad., Xi, 119.)

LXXXVI.

Démodocé, qu’un grand nombre d’hommes, enfans de la terre, recherchaient en mariage et à qui des rois vaillans prodiguaient des présens magnifiques à cause de sa merveilleuse beauté. (Idem, Xi, 200.) (31).

LXXXVII.

Amenant son onde pure dans le courant de l’Océan. (Apollonius, Lexic. in Phoibos.) (32).

LXXXVIII.

Les présens persuadent les dieux, les présens persuadent les rois vénérables. {Suidas in Dôra.)

LXXXIX.

Étant devenue enceinte, elle donna à Jupiter, qui se plaît à lancer la foudre, deux fils, Magnès et Macédon, qui aime à conduire les coursiers ; ces héros habitaient aux environs de la Piérie et des demeures de l’Olympe. (Constantin Porphyrogénète Péri Thémâtôn, liv. 2, p. 22.)(33).

XC.

Elle enfanta dans Mélibée Phellus, habile à manier la lance. (Herodianus Dindymus, p. 11.) (34).

XCI.

Qui cachaient leur premier éclat. (Herodianus Dindymus, p. 18.) (35).

XCII.

Un vain bruit s’élevait sous ses pieds. (Idem, p. 42.) (36).

XCIII.

Par suite de cette dispute, elle enfanta, sans le secours de Jupiter, armé de l’égide, un fils illustre, Vulcain, qui, parmi tous les habitans du ciel, brillait par ses talens et par son habileté. Jupiter, à l’insu de Junon aux belles joues, s’unit avec Métis, fille de l’Océan et de Téthys à la belle chevelure, et la trompa malgré toute sa science. Après avoir pris Métis entre ses mains, il l’engloutit dans ses flancs, tremblant qu’elle n’enfantât quelque chose de plus puis-