Page:Feer - Contes indiens, 1883.djvu/137

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Après avoir fait ce récit, la quatrième figure ajouta : « Hé ! roi Bhoja, si ta reconnaissance est semblable à celle de l’auguste Vikramâditya, telle que tu l’as entendue de ma bouche, alors tu es digne de t’asseoir sur ce trône. » — Le roi, comprenant qu’il n’y avait pas en lui une semblable gratitude, se désista pour ce jour-là.