besoin de lire. Il me demande pardon et me supplie de le laisser revenir. Dois-je lui faire dire qu’il peut monter ?
Oh ! non !…
Que vous importe ? Ce n’est pas l’intérêt de mon salut qui vous préoccupe encore, je suppose ?
Pourquoi pas ?
Il rencontre le regard d’Etiennette et détourne les yeux.
Allons donc ! (Derrière lui tout contre, et figure contre figure.) Mais ayez donc le courage de regarder la vérité en face. Croyez-vous que j’aie pu me méprendre sur le cri que vous venez de pousser ? Mais c’est le cri de la chair, fait d’amour, de jalousie et de désir. Vous voyez bien que vous m’aimez, (Le faisant retourner face à elle d’un geste brusque.) tu le vois bien que tu m’aimes !
Non ! non ! (D’une voix suppliante.) laissez-moi ! laissez-moi !