Page:Feydeau Occupe toi d Amelie.djvu/299

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LE MAIRE, passant la tête a la porte.

Mouilletu ! Mouilletu !

MOUILLETU.

Voilà, monsieur le maire !

Le maire rentre chez lui.
TOUS, étonnés.

Mouilletu ?

MOUILLETU, se rapprochant de Valéry, pour s’excuser.

Je vous demande pardon !

GABY, le retenant par la manche.

Dites donc ! « Mouilletu », c’est à vous qu’il demande ça ?

MOUILLETU.

Oui, madame ! C’est mon nom.

GABY, riant.

Quelle drôle d’idée !

MOUILLETU, tandis que tout le groupe rit.

Je n’en suis pas plus fier !… Je vous demande pardon !

Il les quitte pour aller chez le maire.
MOUCHEMOLLE.

Oh ! bien, si c’est à trois heures : il est moins trois…

VALÉRY.

Ça ne peut être long.

GISMONDA.

D’ailleurs, quand nous sommes arrivés, il y avait déjà des voitures en bas qui entraient.