Page:Feydeau Occupe toi d Amelie.djvu/310

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BIBICHON.

Non.

PALMYRE, se levant.

Nous en sommes, nous.

Elles se rasseyent.
BIBICHON.

Oh ! mais ça ne fait rien ! On mange bien chez elle, je m’invite !

GABY.

Ah ! bravo !

BIBICHON.

Mais, dame ! (Il se rassied pour se relever aussitôt, et, à ceux du fond.) Allô !… Merci du renseignement.

Il s’assied. Mouilletu, sortant de chez le maire, monte sur l’estrade.
ADONIS, à la petite qui lui parle à l’oreille.

Quoi ?… Qu’est-ce que tu dis ? (La petite lui reparle.) Hein !… Ah ! zut ! Non !… tout à l’heure ! quand on s’en ira.

AMÉLIE.

Qu’est-ce qu’il y a ?

ADONIS.

Non, rien !

AMÉLIE.

Mais quoi ?

ADONIS.

Rien, c’est la gosse qui…

N’osant pas achever tout haut, il se lève et va parler bas à Amélie, après quoi il redescend pour retourner à sa place.