Page:Feydeau Occupe toi d Amelie.djvu/342

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MARCEL.

C’était rigolo, en effet.

IRÈNE.

Eh ! bien, ça a réussi ! le parrain a marché ?

MARCEL.

Et comment !

POCHET.

Ce qu’il a pu donner dans le piano !

IRÈNE.

Alors, plus d’ennuis ? plus d’embêtements ?

MARCEL, avec chaleur.

Plus d’ennuis ! plus d’embêtements ! (Rire sardonique d’Étienne dans son coin. — Riant à son exemple.) Ah ! qu’est-ce qu’il a à rire, celui-là ?

IRÈNE.

Te voilà riche.

MARCEL.

Oh ! ma Rérène !

Il veut l’embrasser.
IRÈNE, reculant.

Oh !

MARCEL.

Eh ! ben, quoi ? c’est le mariage !

IRÈNE.

Au fait ! c’est vrai !

Elle se laisse embrasser par Marcel.
AMÉLIE, voyant Van Putzeboum qui arrive par la baie, à Marcel.

Attention ! le parrain !