Page:Feydeau Occupe toi d Amelie.djvu/349

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ÉTIENNE et MARCEL, face a face, se riant mutuellement dans le nez.

Hé ! hé ! hé ! hé ! hé ! hé ! hé !

MARCEL.

Il ne peut y avoir une meilleure farce que d’avoir fait croire au parrain que ce mariage était vrai !

ÉTIENNE.

Si ! si !… Il peut y en avoir une meilleure encore !

MARCEL, même jeu que précédemment.

Oh ! non ! Oh ! non !

ÉTIENNE, même jeu que précédemment.

Oh ! si ! Oh ! si !

ÉTIENNE et MARCEL, riant.

Hé ! hé ! hé ! hé ! hé ! hé ! hé !

ÉTIENNE.

C’est de t’avoir fait croire à toi que ce mariage était faux.

MARCEL, ne comprenant pas et riant encore a moitié.

Oui !… Euh ! Quoi ?

ÉTIENNE.

Tu as cru que c’était une blague ? Eh ! bien, il est vrai, mon vieux ! il est vrai !

MARCEL, devenant anxieux.

Hein !

ÉTIENNE.

Ah ! tu m’as pris ma maîtresse ! Ah ! tu as couché avec elle !