Page:Flaubert Édition Conard Correspondance 5.djvu/331

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
325
DE GUSTAVE FLAUBERT.

Je vous souhaite tout le bonheur que vous méritez, Princesse, je vous baise les deux mains et suis entièrement

Vôtre.
G. Flaubert.

932. À MADEMOISELLE AMÉLIE BOSQUET.
[Croisset] Mardi soir [septembre 1867].

On a bien raison de vous aimer, car vous êtes une bonne femme et un bon esprit. Combien d’autres, qui ne sont pas dignes de décrotter vos bottines, m’en auraient voulu pour les duretés de ma dernière lettre !

Je vous ai écrit comme à un homme, et je vois que j’ai bien fait.

Nous recauserons de Jacqueline de Vardon longuement.

En attendant, je vous aime plus que jamais et vous embrasse.


933. À GEORGE SAND..
[Croisset, fin septembre 1867.]
Chère Maître,

Comment ! pas de nouvelles ?

Mais vous allez me répondre puisque je vous demande un service. Je lis ceci dans mes notes : « National de 1841. Mauvais traitements infligés à Barbès, coups de pieds sur la poitrine, on le traîne